Paroles La nuit d'octobre de Serge Gainsbourg

Serge Gainsbourg
  • 4.0Vous n'aimez pas les paroles de Serge Gainsbourgloading
  • Note 4.0/5 basée sur 32 avis.
  • Artiste: Serge Gainsbourg108
  • Chanson: La nuit d'octobre
  • Langue: Français

Les chansons similaires

Y a pas de honte de Michel Berger

Aimer la musique sur trois accords Même si les voisins sont pas d'accord Pousser à fond les boutons dans le rouge Pour que le monde chante, chante Faut qu'il bouge, parce que... Y a pas de honte Y a pas de honte...

Je L'aime Encore de Garou

Qui la regarde, qui la caresse Qui lui fait l'amour et la laisse Qui s'approche tout près de son corps Sans savoir que je l'aime encore Qui lui fait oublier mon nom Quel sorcier voudou, quel démon L'a...

Les ombres sont chinoises de Giani Esposito

J'étais en train, hélas, de me tordre de rire Sans honte ni plaisir et sans savoir pourquoi Lorsque apparut soudain la femme dans ma vie Dans ma vie éphémère, intime par surcroît Ne sachant plus...

Si Mon Coeur de Johnny Hallyday

Si mon coeur était plus grand, pour eux j'irai chercher du temps. Et si mon coeur était plus blanc, je me retournerais moins amèrement. Si mon coeur était plus fort, je comprendrai mes vrais erreurs. Et...

J'ai Appris Alors de Charles Aznavour

Je n'ai jamais connu mon père On dit que ma mère non plus Aussi j'ai grandi sans manière Sans que personne ne m'ait reconnu Enfant je fauchais aux étalages Ce que ma mère ne pouvait m'acheter Il...

Textes et Paroles de La nuit d'octobre



Honte à toi qui la première
M'a appris la trahison
Et d'horreur et de colère
M'a fait perdre la raison

Honte à toi femme à l'oeil sombre
Dont les funestes amours
Ont enseveli dans l'ombre
Mon printemps et mes beaux jours

C'est ta voix c'est ton sourire
C'est ton regard corrupteur
Qui m'ont appris à maudire
Jusqu'au semblant du bonheur

C'est ta jeunesse c'est tes charmes
Qui m'ont fait désespérer
Et si je doute des larmes
C'est que je t'ai vu pleurer

Honte à toi j'étais encore
Aussi simple qu'un enfant
Comme une fleur à l'aurore
Mon coeur s'ouvrait en t'aimant

Certes ce coeur sans défense
Pu sans peine être abusé
Mais lui laisser l'innocence
Était encore plus aisé

Honte à toi, qui fut la mer
De mes premières douleurs
Et tu fis de ma paupière
Jaillir la source des pleurs

Elle coule sois-en sûre
Et rien ne la tarira
Elle sort d'une blessure
Qui jamais ne guérira

Mais dans cette source amère
Du moins je me laverai
Et j'y laisserai j'espère
Ton souvenir abhorré

Paroles: Alfred de Musset. Musique: Serge Gainsbourg note: poème mis en musique

N'hésitez pas à faire une recherche de paroles d'une chanson dont vous ne connaissez qu'un morceau de texte avec notre moteur de paroles et chansons