Paroles Lyric Atlantique de Alain Aurenche

Alain Aurenche
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  • Artiste: Alain Aurenche1481
  • Chanson: Lyric Atlantique
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J'aurais seulement voulu de Jean Ferrat

Qu'aurais-je été qu'aurais-je été Si ce n'est au violon ce qu'est la chanterelle Cette corde que fait chanter Vivaldi au printemps couleur de tourterelle J'aurais simplement voulu être heureux J'aurais...

J'aurais voulu de Marc Lavoine

J'aurais voulu te dire des mots nouveaux J'aurais voulu t'écrire des lettres à fleur de peau J'aurais voulu changer le jour la nuit J'aurais voulu t'offrir le beau temps et la pluie J'aurais voulu sauver...

J'aurai aimé de LéOparleur

Puisque ma vie est viciée Que tout est trouble À plus parler S'il vous tente De m'expliquer Juste un instant De m'accorder Un air de valse Ou une idée J'aurais aimé Vous rencontrer J'aurais aimé Être...

J'aurais de Sylvie Vartan

J'aurais fermé la porte à clé Eteint la lumière dans l'entrée J'aurais pris ta veste mouillée J'aurais fait chauffer du café J'aurais mis dans la cheminée Trois grosses branches d'olivier Et quand...

J'aurais de Vartan, Sylvie

J'aurais fermé la porte à clé Eteint la lumière dans l'entrée J'aurais pris ta veste mouillée J'aurais fait chauffer du café J'aurais mis dans la cheminée Trois grosses branches d'olivier Et...

Textes et Paroles de Lyric Atlantique



Le soleil a sombré sur les flots atlantiques
La Vendée retranchée derrière ses hautes dunes
Où les oiseaux de mer font leurs cris pathétiques
S'assoupit lentement en regardant la « Une »

J'aurais voulu ce soir que nous soyons ensemble
A cueillir des étoiles et tes fruits défendus
Je t'aurais parlé de l'enfant qui me ressemble
Qui plânait dans l'azur et qu'on a descendu

J'aurais voulu ce soir que tu puisses m'entendre
Je t'aurais raconté ce siècle sans vertu
Où tout n'est que clinquant où l'humain est à vendre
Et où la poésie court les sentiers battus

Tu m'aurais fait sourire de quelque impertinence
Pour ce discours qui fleure encore son mois de mai
Avant de m'embarquer dans tes yeux verts qui dansent
Et qu'un geste audacieux serait venu fermer

Puis sur le sable fin j'aurais écrit je t'aime
Après m'être bercé de tes jeunes langueurs
Et j'aurais murmuré le plus beau des poèmes
En laissant reposer ma tête sur ton coeur

Alors saisis soudain de la folie mystique
Que souffle à l'âme un paradis entr'aperçu
Nous aurions nagés nus, vers quelques Amériques
Où l'on n'arrive pas pour n'être pas déçu

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