Paroles Vendôme gardénal snack de Hubert-Félix Thiéfaine

Hubert-Félix Thiéfaine
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  • Note 5.0/5 basée sur 35 avis.
  • Artiste: Hubert-Félix Thiéfaine34
  • Chanson: Vendôme gardénal snack
  • Langue: Français

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Vendôme Gardenal Snack de Thiéfaine

Tu traînes dans mes nuits comme on traîne à la messe Quand on n'a plus la foi et qu'on ne le sais pas Quand on traîne à genoux aux pieds d'une prêtresse A résoudre une énigme qui n'existe pas Et...

J'aime de Salvatore Adamo

J'aime quand le vent nous taquine Quand il joue dans tes cheveux Quand tu te fais ballerine Pour le suivre à pas gracieux J'aime quand tu reviens ravie Pour te jeter à mon cou Quand tu te fais petite...

Qu'est Ce Que J'aime de Gérard Presgurvic

Qu'est ce que j'aime Quand tu me regardes avec ces yeux Qu'est-ce que j'aime tout à coup Je vois la vie en bleu C'est pas la peine Dis rien tu me gènes Mais qu'est-ce que j'aime Quand tu me regardes...

Quand on n'interdira plus mes chansons de Jean Ferrat

Quand on n'interdira plus mes chansons Je serai bon bon bon bon bon bon bon Quand on n'interdira plus mes chansons Je serai bon à jeter sous les ponts Je n'chanterai plus qu'les p'tits oiseaux L'amour...

Tu N'es Plus Que L'ombre De Moi-même de Jérôme Attal

Tu n'es plus que l'ombre de moi-même, Dans mes yeux regarde-toi. Tu n'es plus que l'ombre de moi-même Je ne te laisse pas sortir comme ça. Je ne suis plus qu'un décor de Western Toi tu brilles...

Textes et Paroles de Vendôme gardénal snack



Tu traînes dans mes nuits comme on traîne à la messe
Quand on n'a plus la foi et qu'on ne le sait pas,
Quand on traîne les genoux aux pieds d'une prêtresse
À résoudre une énigme qui n'existe pas
Et tu lèves les yeux quand passent les cigognes
Qui vendent la tendresse le soir au marché noir.
Dans la rue des travelos, t'as rencontré guignol
Qui s'était déguisé en poète illusoire...
Je t'autorise à me jeter. (2x)

Tu traînes ton ennui dans les rues de l'errance
Et tu serres les poings au fond de tes envies
Quand la ville dégueule son trop-plein d'impuissance
Et nous jette trois sous d'espoir et d'infini.
Je laisse derrière toi des mégots de Boyards,
Le cri d'une chanson et des bouteilles vides,
Au hasard de ma route entre deux quais de gare.
Je ne fais que passer, je n'aurai pas de rides...
Je t'autorise à me jeter. (2x)

Du fond de ton exil, tu vois des processions
De chiens à demi fous qu'on relègue à la mort.
Tu vois des cathédrales qui affichent mon nom
Pour un dernier concert à l'envers du décor.
Tu vois les échafauds qui tranchent l'innocence
Et répandent la vie à trois mètres sous terre
Où l'on voudrait aller quand on a joué sa chance
Et qu'on reste K.O. la gueule au fond d'un verre...
Je t'autorise à me jeter. (2x)

Paroles et Musique: Hubert-Félix Thiéfaine  "De l'amour, de l'art ou du cochon ?"

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