Paroles Comme De L'uranium de La Rumeur

La Rumeur
  • 0.0Vous n'aimez pas les paroles de La Rumeurloading
  • Note 0.0/5 basée sur 0 avis.
  • Artiste: La Rumeur54874
  • Chanson: Comme De L'uranium
  • Langue:

Les chansons similaires

Vivre en toi de Patrick Fiori

Comme une vague aller une dernière fois Mourir doucement à l'ombre d'une plage Comme le silence, partir pour qu'on ne m'entende pas Traîner ma vie comme une trop longue seconde Traîner l'envie de t'aimer...

Pourquoi les hommes ? de Vitaa

Pourquoi les hommes sont si durs, sont si forts mais si doux Pourquoi les hommes nous murmurent puis nous jettent à genoux Pourquoi les hommes sont si purs quand ils aiment mais c'est tout Pourquoi j'ai...

Traverser La Nuit de Kidtonik

Et puis tout devient incandescent Comme des papillons sur un écran Le temps est venu de savoir Ce qui est caché dans le noir Mais quelle est la nature de l'homme ? Pourquoi croquer dans la pomme...

Trop grand pour moi de France Gall

Et les rues sont autant de couloirs Silencieux et solitaires Et les vapeurs du soir me font peur Comme c'est grand la terre Moi si petite, si fragile Je m'étonne à chaque pas D'être née dans ce monde...

Les Mots Qui Me Viennent de La Rumeur

[Ekoué] Ce sont les mots qui me viennent, je ne suis que le porte-parole de la mienne. Et oui, je siffle la marseillaise et je te baise, c'est comme ça, tout comme les hommes d'Etat évitent...

Textes et Paroles de Comme De L'uranium



Verse 1 "Ekoue"

J'ai pas grandi à la mer, bercé par le chant des mouettes
mais les deux pieds dans le ciment des rues
Quelques restes à s'mettre sous la dent, on va pas se
laisser crever non plus
Il serait trop tôt pour faire l'inventaire même si
le temps se gâte
Après un nouveau fiasco ou un grand coup de chatte
A peine trentenaire étrangement traumatisé d'la vie
A chacun ses tranquillisants pour retrouver la porte de
sortie ou le meilleur raccourci
On se raccroche à ce qu'on peut de la sorcellerie du pays
aux écrits pieux, comme c'est curieux !
Autant de raisons d'être inquiet si tant est que les prisons se
battent pour nous mettre en quatre
Dernier exemple en date, quand les banlieues crachent du feu
C'est toute la classe politique qui s'arrache les cheveux, puis
baisse les yeux et marche droit comme une queue ou une
ligne de cess'
Les quartiers poussent trop vite, les premiers chtars apparaissent
Les petits frères ont plus de poils sur la bite que toutes les
unités de CRS qui viennent traîner leur graisse
Mon phrasé brûle des caisses et mes rimes savent se traîner
J'ai pas attendu que la république se taille les veines devant
L'horreur de nos curriculum

" Refrain "

Car entre barbares et racailles comme terminologie
du parfait sous-homme
Appauvris ok mais comme de l'uranium " Bis "

Verse 2 " Le Bavar "

Jusqu'à la fin, la dernière latte, le dernier train,
La dernière seconde avant le coup de frein à main,
putain de vie et ses derapages, ma barque navigue en plein
marecage, de quoi tu parles de partage.
En cage, que des renois, très peu d'Benoit.
Drogue, alcool, H-P, ou prison qui nous reçoit, c'est pas la
foire au bestiaux mais presque, mais est ce que tu crois
qu'on vas s'contenter des restes ?
Moi j'ai peu de preferences entre l'essence et la poudre.
quand du bout de mes doigts brulants, danse la foudre.
Demande pas pourquoi, pour qui, comment ?
N'y vois rien d'étonnant. Des frasques du specimen a son
comportement.
Parasite au monde libre, j'livre une étrange guerre a rendre
ivre journalistes et autres mange-merde, le crane plein de
solutions pas toujours orthodoxes, et puis j'en assume
les paradoxes.

" Refrain "

Verse 3 "Hame"

L'asphyxie est lente sous les chiffon de chloroforme
Mais je dors encore que d'un poumon
Le second m'attache à mes fantômes, comme
Autant de faux passeport
Avant le vol vers un archipel créole
A quoi rêvent les hommes qu'on habille en sous-hommes
Sur les chemins sans fin, qui ne mène pas à Rome ?
J'ai toute la vie pour ne pas mériter mon sort
J'aurai toute la mort pour me reposer des porcs
A l'orphelinat des amants du bitume
On apprend à tromper l'amertume
En pissant sur les singes et les sages
Formidable ce que la race des seigneurs est baisable !
Bercez-vous d'illusions et de stupides refrains,
Sales enfants d'putains, aux premières loges des festins !
Il n'y a plus que l'ombre d'un minuscule nombre
Entre la beauté du monde et nos fleurs sur des tombes

N'hésitez pas à faire une recherche de paroles d'une chanson dont vous ne connaissez qu'un morceau de texte avec notre moteur de paroles et chansons