Paroles La señora Garcia de Robert Cogoi

Robert Cogoi
  • 4.0Vous n'aimez pas les paroles de Robert Cogoiloading
  • Note 4.0/5 basée sur 40 avis.
  • Artiste: Robert Cogoi117
  • Chanson: La señora Garcia
  • Langue: Français

Les chansons similaires

Prenez mon coeur et mes roses de Marie-José

Les jours de fête à Séville Quand la joie couvre la ville Parcourant la foule en émoi On voit passer Violetta Son petit panier au bras Qui propose à tous les passants Gaiement (Refrain) Prenez mon coeur...

Belle Dans Tête de Eric Lapointe

Brûle ta langue sur sa peau, perds la vue dans sa voix Fais-la rire, tiens-la au chaud, aime-la mieux que moi Tous les drames près de toucher son âme Si tu la touches, t'as plus le choix, De l'amour...

Petit Simon de Hugues Aufray

Petit Simon, Tu es un grand garçon Viens, donne-moi la main La nuit est belle Allons dans le jardin Voir les étoiles dans le ciel Petit Simon, Tu vois tout là-haut Comme le monde semble beau Mais...

L'enfant aux cymbales de Frida Boccara

Dans les rues de Rio un enfant s'émerveille en voyant défiler sous ses yeux le cortège en fez bleu des fanfares en livrée de soleil. Oubliant ses habits, ses pieds nus, dans ses rêves éperdus il...

Nous, quand on s'embrasse de Johnny Hallyday

Lorsque le soir on se retrouve tous les deux, rien que nous deux Lorsque, fous de désir, on tire les rideaux sans dire un mot, un seul mot Le silence pour seul témoin Mon amour, on est si bien Oui, on est si bien Jusqu'au...

Textes et Paroles de La señora Garcia



Dans ce petit village de Castille
Dès que la cloche appelle les fidèles
On peut voir une vieille bien gentille
Passer, le nez plongé dans son missel
Tous les petits enfants lui font cortège
Jetant parfois des roses sur ses pas
Et les carabiniers,
La gueule enfarinée,
En la voyant font des signes de croix

(Refrain)
C'est la señora Garcia, la sainte femme
Lorsque l'on croise son chemin rien qu'une fois
Amigos, croyez-moi
On n'oublie pas la señora
Garcia

Et quand, sur les collines, la nuit tombe
Dans le village règne la terreur
Car on entend rôder dans les rues sombres
Une effroyable bande de voleurs
Leur chef à la silhouette un peu bizarre
A du granit à la place du coeur
Vêtu comme une fille
Caché sous sa mantille
Ce vrai Napoléon des malfaiteurs

(au Refrain)

Un jour, on vit venir un journaliste
Encore bien plus curieux que la moyenne
Il se vanta de tenir une piste
Mais on l'a retrouvé dans un vieux chêne
Il était cravaté d'une mantille
Et se balançait entre ciel et terre
Mais devinez qui vient
Tous les lundis matins
Lui apporter des fleurs au cimetière

(au Refrain)

Paroles: Frank Gérald. Musique: Jean Kluger   1966 © Philips

N'hésitez pas à faire une recherche de paroles d'une chanson dont vous ne connaissez qu'un morceau de texte avec notre moteur de paroles et chansons