Paroles Morte Geométrica de Filii Nigrantium Infernalium

Filii Nigrantium Infernalium
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  • Artiste: Filii Nigrantium Infernalium33076
  • Chanson: Morte Geométrica
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Je Me Souviens Je Me Rappelle de Daniel Darc

Je me souviens je me rappelle C'est en ces lieux chèrs à mon coeur Le jour baissait j'étais près d'elle Je me foutais bien du malheur Dissimule dans le silence Tes sentiments des espérances Qui...

Dors de EMY

Les jours passent Et jamais ne s'arrêtent Je sens ton souffle sur ma nuque J'ai ton image dans la tête Je me demande, si tu pense a moi aujourd'hui Si tu pourrais me reconnaître Ou si j'ai sombrer...

Te perdre de Eddy Mitchell

Aide-moi à t'aider Fais pas semblant d'essayer d'essayer Je n'ai ni Dieu ni Maître J'sais plus rêver Il ne me reste qu'une peur Te perdre Aime comme je veux t'aimer Si j'peux entendre alors je rêve D'écouter...

Dors bien la terre de Isabelle Aubret

Dors bien la terre Dans ton grand drap noir Oublie tes guerres Tes coups de cafard Tes plaies, tes bosses Ne se voient qu'au jour Dors comme le gosse D'un sommeil bien lourd. Tu vas bien te reposer Prendre...

Berceuse de Aimé Doniat

Dors, dors bien, dors près de ta mère Qui te berce dès que vient la nuit C'est dans l'ombre ma prière Dors, dors bien dans ton petit lit Dors, dors bien, c'est l'heure où les anges Pour l'Enfant-Dieu...

Textes et Paroles de Morte Geométrica



Morte geométrica - além da noite, mil noites
VI VI VI - Somos o verbo
Chicote industrial / orgia de carne e metal
Funeral / As pragas da criação

Nós! Máquinas... genocida criação
E nós - Peste!
Como deuses: não há futuro

"Ô convoi solennel des soleils magnifiques,
Nouez et dénouez vos vastes masses d'or,
Doucement, tristement, sur de graves musiques,
Menez le deuil très-lent de votre soeur qui dort.

Les temps sont révolus! Morte à jamais, la Terre,
Après un dernier râle (où tremblait un sanglot!)
Dans le silence noir du calme sans écho,
Flotte ainsi qu'une épave énorme et solitaire.
Quel rêve! Est-ce donc vrai? Par la nuit emporté,
Tu n'es plus qu'un cercueil, bloc inerte et tragique
Rappelle-toi pourtant! Oh! l'épopée unique!...
Non, dors, c'est bien fini, dors pour l'éternité.

Ô convoi solennel des soleils magnifiques...

Et pourtant souviens-toi, Terre, des premiers âges,
Alors que tu n'avais, dans le spleen des longs jours,
Que les pantoums du vent, la clameur des flots sourds,
Et les bruissements argentins des feuillages."
[Jules Laforgue, Marche funèbre pour la mort de la terre, 1880]

Pangeia arde no caixão
Nos fornos de Yawé
Cicuta universal - Não há futuro!

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